INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, est un acteur majeur de la recherche et de l’innovation créé le 1er janvier 2020. Institut de recherche finalisé issu de la fusion entre l’Inra et Irstea, INRAE rassemble une communauté de 12 000 personnes, avec 268 unités de recherche, service et expérimentales implantées dans 18 centres sur toute la France. L’institut se positionne parmi les tout premiers organismes de recherche au monde en sciences agricoles et alimentaires, en sciences du végétal et de l’animal, et se classe 11e mondial en écologie-environnement. Il est le premier organisme de recherche mondial spécialisé sur l’ensemble « agriculture-alimentation-environnement ». INRAE a pour ambition d’être un acteur clé des transitions nécessaires pour répondre aux grands enjeux mondiaux. Face à l’augmentation de la population, au changement climatique, à la raréfaction des ressources et au déclin de la biodiversité, l’institut construit des solutions pour des agricultures multi-performantes, une alimentation de qualité et une gestion durable des ressources et des écosystèmes.
Humer est le subtil métier des « nez » parfumeurs, mais nous aurions tort de ne pas essayer. Pour notre plaisir et pour redonner aux odeurs un droit de cité. Deuxième article de la série olfaction.
Le musée du parfum a ouvert ses portes le 15 décembre à Paris. L'occasion de se demander : comment sentons-nous ? Sans être aussi affûté que celui du chien, notre nez procure d’infinies sensations.
Les immenses feux qui ont ravagé ces dernières semaines la province d’Alberta au Canada sont peu probables dans la zone méditerranéenne de l’Europe. Voici pourquoi.
L’implication du public dans la fabrique des connaissances s'organise avec ce que l’on appelle les sciences participatives. Elles sont diverses, et rencontrent un grand intérêt.
S’il est peu probable de retrouver un scénario similaire à celui de la crue majeure de 1910, le réseau national de la prévision des crues est à pied d’œuvre pour surveiller le niveau de la Seine.
Pour limiter l’usage de ces produits aux effets néfastes pour la santé et l’environnement, des chercheurs mettent au point de nouvelles technologies, dans le domaine de la viticulture notamment.
Un site expérimental en Gironde devrait permettre d’évaluer l’efficacité des zones de rejet végétalisées dans l’amélioration de la qualité des eaux relâchées par les stations d’épuration.
Pour évaluer la qualité des eaux de rivière, rien de tel que les gammares, petits crustacés qui se distinguent par leur sensibilité aux micropolluants et leur capacité à accumuler les contaminants.
Le réchauffement et la survenue de climats plus secs vont avoir des conséquences considérables pour les territoires de montagne et tout particulièrement leurs forêts.
Profiter de ses vacances pour être au plus près de la nature en explorant des aires protégées ?
Pourquoi pas, mais en tenant compte d'éventuelles conséquences insidieuses sur la faune locale.
Identifier les effets néfastes du développement urbain en matière d’inondations permet de développer des solutions efficaces pour en limiter les dégâts des aléas climatiques en ville.
Cépage emblématique du vignoble alsacien, le pinot se décline en trois couleurs. Sa diversité naît de réarrangements génétiques, exploités par les viticulteurs.