L'Université Paris-Panthéon-Assas s’impose comme un nouvel acteur avec une ambition affichée : accompagner et soutenir les transformations du monde contemporain en tant qu’établissement d’enseignement supérieur et de recherche de premier plan, en France, en Europe et dans le monde.
Pionnière dans sa démarche, l'Université Paris-Panthéon-Assas est la première université en France à intégrer 4 Grandes écoles privées, reconnues d’intérêt général (EESPIG). Aux formations de droit, d’économie, à celles de la Maison des sciences de gestion et de l’Institut français de presse, se joignent désormais celles d’Efrei, école d’ingénieurs généraliste du numérique, de l’ISIT, institut de management et de communication interculturels, du CFJ, Centre de formation des journalistes et de l’école W, école de communication et de journalisme. Ces 4 membres intégrés, leaders dans leur domaine de spécialité, sont porteurs de forte valeur ajoutée dans les champs de la formation et de la recherche. Ce regroupement compte également un institut-partenaire public, l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM) du ministère des Armées, qui apporte son expertise sur les questions de sécurité-défense et de relations internationales.
Chiffres clés : 2.300 étudiants, 1.500 enseignants, 26 centres de recherche et 25 sites.
L’Internet utilisé par les « gilets jaunes » pour favoriser leur mobilisation et se retrouver entre soi conforte nombre d’entre eux dans leur rejet des médias, ouvrant la porte aux fake news.
George H.W. Bush représentait un autre monde, et incarnait le héros américain qui inscrit sa légende dans une histoire collective, elle-même élargie aux frontières du monde.
Les rhétoriques divergent tellement entre les gilets jaunes et l’exécutif que la situation présente possède toutes les caractéristiques d’une impasse politique liée à une profonde incommunication.
Déclenché par un rejet assez habituel des taxes sur les carburants, le mouvement disparate de colère des gilets jaunes traduit un malaise profond qui fracture en silence la société française.
Il se passe quelque chose aux États-Unis : les femmes se sont massivement mobilisées lors des primaires précédant les élections de mi-mandat et nombre d’entre elles pourraient être élues.
Alors que la désapprobation grondait face à sa querelle post-mortem avec McCain, le livre de Woodward a fait germer l’idée que Donald Trump pourrait être quelqu’un de peu sûr de lui et de manipulable.
À partir du début des années 2000, c’est le sujet clivant de l’immigration, brandi à chaque débat de la vie politique américaine, qui a permis au Ku Klux Klan d’opérer une renaissance.
En se servant des enfants, Trump espère exercer une pression suffisante sur le Congrès pour lui arracher le financement de son mur. Un coup de poker, qui l’entraîne sur des sentiers nauséabonds.
Dans l’indispensable mobilisation de tous pour lutter contre les fake news, les bibliothèques universitaires ont toute leur place, elles qui aident à repérer ce qui fait la valeur d’une information.
Si le sommet pouvait juste avoir été retardé afin de se tenir finalement à quelques jours de l’élection de mi-mandat, en novembre 2018, ce serait une véritable aubaine pour les républicains.
Emmanuel Macron cherche un (improbable) point d’équilibre entre un Président jupitérien, un Président proche des Français et au charbon et une personnalité privée cool et moderne, à la Obama.
Mauvaise surprise pour celles et ceux qui avaient pensé que le président français allait se dresser sur la route de l’Américain et défendre la lutte contre le climat : il a juste planté un chêne.
Un an après une rencontre à Bruxelles où le président français avait voulu démontrer sa robustesse face à Trump, les deux hommes pourraient bien marcher main dans la main.
En 1968, la comédie musicale « Hair » fait l’effet d’une bombe dans le monde du spectacle qu’elle change profondément, mais plus largement encore dans la société.
Au lendemain des rassemblements du 24 mars, tout le monde semble bien d’accord sur ce qui va arriver dans les prochains mois, voire les prochaines années : rien.
En permettant l’échange de valeur par Internet et la suppression des intermédiaires, le bitcoin devait révolutionner les transactions. Mais il y a loin de la théorie à la pratique.
Maître de conférences de sciences économiques, Laboratoire d’Economie Mathématique et de Microéconomie Appliquée (LEMMA), Université Paris-Panthéon-Assas
Research Fellow à la Vytautas Magnus University (Kaunas), chercheure à l'Université Vytautas Magnus de Kaunas, Lituanie, Docteure associée au Centre d'Études et de Recherches de Sciences Administratives et Politiques (CERSA), Université Paris-Panthéon-Assas
Docteure en relations internationales, maitresse de conférences en science politique à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA), chercheure associée au Collège de France, chercheure associée au centre Thucydide, Université Paris-Panthéon-Assas
Docteur en science politique. Université Paris-Panthéon-Assas, ATER à l'Université Clermont-Auvergne, spécialisé en histoire sociale des idées partisanes, Université Paris-Panthéon-Assas