L'Université Paris-Panthéon-Assas s’impose comme un nouvel acteur avec une ambition affichée : accompagner et soutenir les transformations du monde contemporain en tant qu’établissement d’enseignement supérieur et de recherche de premier plan, en France, en Europe et dans le monde.
Pionnière dans sa démarche, l'Université Paris-Panthéon-Assas est la première université en France à intégrer 4 Grandes écoles privées, reconnues d’intérêt général (EESPIG). Aux formations de droit, d’économie, à celles de la Maison des sciences de gestion et de l’Institut français de presse, se joignent désormais celles d’Efrei, école d’ingénieurs généraliste du numérique, de l’ISIT, institut de management et de communication interculturels, du CFJ, Centre de formation des journalistes et de l’école W, école de communication et de journalisme. Ces 4 membres intégrés, leaders dans leur domaine de spécialité, sont porteurs de forte valeur ajoutée dans les champs de la formation et de la recherche. Ce regroupement compte également un institut-partenaire public, l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM) du ministère des Armées, qui apporte son expertise sur les questions de sécurité-défense et de relations internationales.
Chiffres clés : 2.300 étudiants, 1.500 enseignants, 26 centres de recherche et 25 sites.
Une évaluation quantitative – via un modèle innovant – montre que la loi El Khomri substitue des jeunes à des moins jeunes, et des CDI désormais plus précaires aux CDD.
Dans la multitude des formations disponibles, un nouveau venu est apparu ces dernières années, la double licence, qui est là notamment pour susciter l’émulsion intellectuelle.
Replacé à la une de l’actualité par les manifestations contre la loi El Khomri, le rapport administratif de septembre 2015 n’augure rien de bon pour le futur de l’université française.
Les Panama papers mettent en lumière les dérives de la financiarisation du monde, mais aussi la créativité des médias qui, en se rassemblant, sont en mesure d’exercer un rôle actif de contre-pouvoir.
Loin d’arrêter Donald Trump, l'hostilité des caciques du Parti républicain a agrégé autour du candidat trublion une frange dure de l’électorat et place le candidat en position de force.
Le développement et l’utilisation croissante des « adblockers » obligent les fournisseurs de contenus financés par la publicité à trouver de nouvelles sources de financement.
Madina Rival, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) and Véronique Chanut, Université Paris-Panthéon-Assas
Alors que le ministère des finances français prépare une loi de régulation et de transparence, retour sur les enjeux et pratiques du métier de lobbyiste.
Arnaud Mercier spoke with Stephen Brady, Australia’s ambassador to France, about Australia’s role in the fight against terrorism, and his own country’s approach to creating a multicultural society.
Interview de l’ambassadeur d’Australie à Paris sur les relations avec la France, le multiculturalisme, la lutte contre Daech… et la déchéance de nationalité pour les binationaux.
Depuis les attentats du 13 novembre, les symboles négatifs se multiplient en France. Plutôt que « déchoir », pourquoi ne pas élever à la nationalité ceux qui portent haut nos valeurs ?
Dans une lettre ouverte à Thierry Mandon, trois chercheurs s’inquiètent de l’état de l’université. Et préconisent des solutions radicales pour ouvrir le débat.
Adepte des technologies modernes de communication, Daech utilise son magazine mensuel Dabiq pour justifier notamment sa conception moyenâgeuse des relations hommes-femmes.
Alors que les médias s’inscrivent pour la traditionnelle semaine de la presse à l’école, petit lexique des nouvelles pratiques des jeunes en terme d’information. Avec le smartphone en vedette.
Pour frapper les jihadistes en Syrie, y compris français, Paris invoque le « droit à la légitime défense » prévu par l’ONU. Mais à quelles conditions peut-on exercer un tel droit ?
L’apprentissage doit être un projet prioritaire. Il faut le développer dans le second cycle du secondaire, en finir avec l’incroyable complexité du système, revoir sa gouvernance et son financement.
Par-delà le désir d’indépendance d’une partie du peuple catalan, l’évolution politique de la Catalogne est-elle la marque de la décomposition des États-nations ou celle de sa recomposition accélérée ?
Maître de conférences de sciences économiques, Laboratoire d’Economie Mathématique et de Microéconomie Appliquée (LEMMA), Université Paris-Panthéon-Assas
Research Fellow à la Vytautas Magnus University (Kaunas), chercheure à l'Université Vytautas Magnus de Kaunas, Lituanie, Docteure associée au Centre d'Études et de Recherches de Sciences Administratives et Politiques (CERSA), Université Paris-Panthéon-Assas
Docteure en relations internationales, maitresse de conférences en science politique à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA), chercheure associée au Collège de France, chercheure associée au centre Thucydide, Université Paris-Panthéon-Assas
Docteur en science politique. Université Paris-Panthéon-Assas, ATER à l'Université Clermont-Auvergne, spécialisé en histoire sociale des idées partisanes, Université Paris-Panthéon-Assas