INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, est un acteur majeur de la recherche et de l’innovation créé le 1er janvier 2020. Institut de recherche finalisé issu de la fusion entre l’Inra et Irstea, INRAE rassemble une communauté de 12 000 personnes, avec 268 unités de recherche, service et expérimentales implantées dans 18 centres sur toute la France. L’institut se positionne parmi les tout premiers organismes de recherche au monde en sciences agricoles et alimentaires, en sciences du végétal et de l’animal, et se classe 11e mondial en écologie-environnement. Il est le premier organisme de recherche mondial spécialisé sur l’ensemble « agriculture-alimentation-environnement ». INRAE a pour ambition d’être un acteur clé des transitions nécessaires pour répondre aux grands enjeux mondiaux. Face à l’augmentation de la population, au changement climatique, à la raréfaction des ressources et au déclin de la biodiversité, l’institut construit des solutions pour des agricultures multi-performantes, une alimentation de qualité et une gestion durable des ressources et des écosystèmes.
Au niveau des feux, l’année 2022 se situe dans la fourchette historique et n’est pas « sans précédent », contrairement à l’impression relayée par de nombreux médias.
Vaste territoire sylvicole hautement inflammable, les plantations de pins maritimes du Sud-Ouest de la France doivent évoluer pour faire face aux dérèglements climatiques.
L’adaptation des vins d’appellation au changement climatique fait face à deux impasses : une voie conservatrice et une voie d’innovation radicale. Comment y remédier ?
As climate change worsens, it’s essential to restore our forests and ensure that the ones we plant are resilient. A global research network, the Tree Diversity Network, is working to make it happen.
Depuis début 2022, une réglementation européenne autorise les agriculteurs bio à faire commerce de leurs propres semences. Une évolution aux multiples implications.
Difficultés économiques, contraintes de temps, manque de savoir-faire… Les étudiants peinent souvent à équilibrer leur alimentation. Mais l’université peut pallier ces manques de plusieurs façons.
Une enquête conduite auprès de 29 restaurants collectifs met à jour quatre leviers à mobiliser pour rendre la cantine plus appétissante, plus saine et plus respectueuse de l’environnement.
Le bien-être n’est pas un concept théorique désincarné. Il doit être appréhendé comme une réalité vécue par des êtres vivants sensibles et conscients dans leur relation à leur milieu de vie.
La construction d’une chaîne alimentaire plus écologique, plus locale et adaptée aux changements climatiques implique de relever une série de défis scientifiques.
Pollutions, perte de biodiversité, changement climatique, mais aussi maladies chroniques liées à l’alimentation et à l’environnement : autant de problématiques à aborder de façon transversale.
Trees were already known for cooling and cleaning the air of cities. A Europe-wide, participative science project shows how much their density matters for urban biodiversity.
L’utilisation accrue du numérique pourrait permettre un meilleur suivi individuel des animaux d’élevage. Cette digitalisation a cependant un coût financier et environnemental.
La surveillance de baignade dispose d’un acteur trop souvent sous-estimé, même en France : le surfeur. Retour sur la nature de ses interventions et les précautions à prendre pour préserver chacun.
Les arbres souffrent de la sécheresse… mais ils souffrent aussi des cycles de gel ou de dégel, ou de la fonte précoce des neiges. Autant d’éléments que le changement climatique ne fera qu’accentuer.
Largement utilisés dans l’agriculture, les pesticides contaminent l’environnement sur de très larges zones. Leurs actions délétères sur les organismes contribuent à l’érosion de la biodiversité.
On invoque parfois l’économie pour justifier l’ambition limitée de la lutte contre la pollution de l’air. Pourtant, plus celle-ci vise haut, plus le bénéfice pour le budget - et la santé - est grand.
De nombreuses personnes qui se sentent sensibles au gluten choisissent de l’écarter de leur alimentation. Les produits céréaliers artisanaux sont-ils une solution à leur intolérance digestive ?